BRAZZAVILLE, 11 novembre (Xinhua) -- La société pétrolière, Total E&P Congo, premier opérateur pétrolier du pays, a lancé vendredi à Pointe-Noire, capitale économique du Congo, en présence du chef de l'Etat congolais Denis Sassou N'Guesso, la première phase de son gigantesque projet dénommé "Moho Nord" avec une production de 140.000 barils par jour.
Fruit du partenariat entre les sociétés Total, SNPC et Chevron, ce projet pétrolier, le plus important jamais réalisé au Congo, vise à augmenter les capacités de production de l'Unité flottante de production (FPU) Alima situé à environ 75 km des c tés congolais au large de Pointe-Noire.
Sa mise en uvre est con u pour favoriser des partenariats gagnant-gagnant avec les acteurs industriels locaux mais aussi étrangers. Il permet, selon la société fran aise, une extension du réseau de production du FPU Alima, en service depuis 2008.
Cette barge monumentale de 189 m de long sur 34 m de large accueille à son bord 80 personnes qui y travaillent. Il est le premier site pétrolier congolais développé par cette société en offshore profond.
"Onze puits sous-marins supplémentaires dont 7 producteurs d'huile et 4 injecteurs d'eau vont s'ajouter aux 15 puits initiaux", précise les responsables de Total dans un communiqué de presse rendu public à l'occasion de la cérémonie de son lancement.
Le projet consiste également en la valorisation de plusieurs réserves d'age Miocèe (5 à 11 millions d'années) découverte en 2010 sur le permis Moho Bilondo.
Toujours selon la société Total E&P, le deuxième développement attendu de "Moho Nord" vise la mise en place d'une nouvelle unité flottante de production et d'une nouvelle plateforme de forage et de production de type TLP, une innovation au Congo.
Principale source des recettes de l'état (80%), le pétrole contribue à environ 70% au PIB du Congo. Sa récession depuis trois ans a fortement impacté sur budget de l'état congolais obligé de mettre des bouchées doubles dans sa politique de diversification de l'économie.
french.xinhuanet.com
Congo-hydrocarbures : Total E&P Congo augmente sa capacité de production pétrolière
Publié le 2015-12-12 à 03:36 | french.xinhuanet.com
BRAZZAVILLE, 11 novembre (Xinhua) -- La société pétrolière, Total E&P Congo, premier opérateur pétrolier du pays, a lancé vendredi à Pointe-Noire, capitale économique du Congo, en présence du chef de l'Etat congolais Denis Sassou N'Guesso, la première phase de son gigantesque projet dénommé "Moho Nord" avec une production de 140.000 barils par jour.
Fruit du partenariat entre les sociétés Total, SNPC et Chevron, ce projet pétrolier, le plus important jamais réalisé au Congo, vise à augmenter les capacités de production de l'Unité flottante de production (FPU) Alima situé à environ 75 km des c tés congolais au large de Pointe-Noire.
Sa mise en uvre est con u pour favoriser des partenariats gagnant-gagnant avec les acteurs industriels locaux mais aussi étrangers. Il permet, selon la société fran aise, une extension du réseau de production du FPU Alima, en service depuis 2008.
Cette barge monumentale de 189 m de long sur 34 m de large accueille à son bord 80 personnes qui y travaillent. Il est le premier site pétrolier congolais développé par cette société en offshore profond.
"Onze puits sous-marins supplémentaires dont 7 producteurs d'huile et 4 injecteurs d'eau vont s'ajouter aux 15 puits initiaux", précise les responsables de Total dans un communiqué de presse rendu public à l'occasion de la cérémonie de son lancement.
Le projet consiste également en la valorisation de plusieurs réserves d'age Miocèe (5 à 11 millions d'années) découverte en 2010 sur le permis Moho Bilondo.
Toujours selon la société Total E&P, le deuxième développement attendu de "Moho Nord" vise la mise en place d'une nouvelle unité flottante de production et d'une nouvelle plateforme de forage et de production de type TLP, une innovation au Congo.
Principale source des recettes de l'état (80%), le pétrole contribue à environ 70% au PIB du Congo. Sa récession depuis trois ans a fortement impacté sur budget de l'état congolais obligé de mettre des bouchées doubles dans sa politique de diversification de l'économie.